COR : BILANS DE SANTÉ GRATUITS
La CPAM en partenariat avec la COR et la Ville de Tarare organisent des bilans de santé gratuits, sortes de check-up complet, pour tous les habitants du territoire de la COR ainsi qu'aux membres de leur famille, (enfants compris dès 8 ans).
Ce bilan de santé est un examen préventif personnalisé complet : analyse de sang, d’urine, tension artérielle, poids, taille, examens de la vue et de l’audition, électrocardiogramme, etc.
Cet examen s'adresse actuellement à tous les habitants du territoire de la COR. Le nombre de patients reçus chaque mois oscille actuellement entre 5 à 10 pour une possibilité globale d'environ 12. En cas de saturation, priorité sera donnée aux personnes en situations délicates qui ne peuvent pas toujours consulter un généraliste ou un spécialiste.
Les différentes analyses et bilans sont réalisés par une équipe de professionnels de l’Institut de Santé Bourgogne Auvergne constituée d'un médecin et d'une infirmière. Cette équipe est complétée par un médiateur social de l'ELSA (Equipe de Liaison de Soins Addictologie) de l'hôpital de Tarare ainsi que du personnel d'accueil de la COR.
Le médecin, à l'occasion d'un entretien personnalisé, commente et explique les résultats du bilan. Il peut aborder les modes de vie, les antécédents personnels et familiaux, la participation aux programmes de dépistage, le suivi des vaccinations et peut apporter quelques conseils et recommandations. Ce bilan permet aussi de dépister certaines affections ignorées ou latentes et de répondre aux interrogations des assurés sur leur santé. Enfin, sur demande, l'assuré peut rencontrer une assistante sociale et/ou un psychologue.
Sous réserve de l'accord du patient, les résultats pourront être communiqués au médecin traitant qui peut alors prendre le relais et assurer un suivi efficace.
Ces bilans de santé, qui durent environ 3 heures, ont lieu à Tarare, tous les mois, à l'Espace Belfort, rue Pelletier.
Renseignements et inscriptions : Service politique de la ville de la ville : 04 74 05 06 60
Article de Jean-Philippe REGNAT
